Tronant au centre de la table, il sublime le Ficha Finito avec une arrogance sculpturale. Car certaines fins de manche méritent une standing ovation.
Manipuler le Marcador, c’est comme accorder un instrument : chaque molette fredonne sa note, chaque chiffre s’affiche comme une promesse triomphante. Un geste lent, précis… et délicieusement assumé.
Il fait valser le Canastillo et le Zapato avec une fluidité presque indécente. C’est l’accessoire fétiche des Canastadores exigeants. Car au Jockey Club, on ne va pas chercher les cartes… On lesfait venir à soi.
Un cocktail ou un maté, la Calebasse est la plus belle façon de partager un moment convivial autour du jeu Canasta-origen. Là ou les saveurs exotiques infusent avec les rires complices et les cris d’allegresse. Autant de saveurs à partager que de manches à savourer.
Tourner la manivelle, c’est faire danser les cartas comme des ballerines. Elles défilent, légères, comme des battements d’ailes, portées par une douce mélodie qui annonce la manche suivante. Un rituel précieux, indispensable à ceux qui jouent selon les règles de l’art.
Sombre et mysterieux, le Zapato est le puits du destin. Il distribue les cartas au compte-goutte, prêt à trahir vos calculs ou à exaucer vos voeux.
Un galet précieux à deux visages – pure ou impure – C’est lui qui signe le chef-d’oeuvre, qui fait chanter le choeur : « Canasta ! »
Le clairon flamboyant de la fin de manche, éclatant et impitoyable, il fait briller les vainqueurs d’un souffle d’or et fait danser les scores avec allégresse. Puis… tel une chimère insaisissable, il regagne son trône, prêt à orchestrer le prochain coup de théâtre.
Le joyau central de Canasta-origen. Désiré, disputé, parfois détesté… C’est lui qui fait basculer la partie d’un claquement de cartes déclenchant des cris qu’on entend jusqu’au bout du tapis.
Un design élégant et raffiné, ou chaque carte illustrée entonne une légende d’Amerique du sud. Les collectionnern c’est parader avec faste en savourant les regards envieux de nos rivaux